La fin approche
Quand la fin approche, la nostalgie nourrit le romancier. Les dernières ligne de Cent soixante-dix en témoignent. Illustration : Anton Skripal – Tous droits réservés
Littérature et gastronomie (1)
Si vous manquez d’inspiration (et même si vous n’y mangerez pas forcément le veau Orloff de Cent soixante-dix), une bonne adresse lyonnaise qui éveillera vos muses : Le P’tit Boulevard
Tension et narration
La tension est l’énergie du romancier. Elle ne doit pas entraver son récit, mais le ponctuer. Le Paris assiégé de 1870 a fourni un cadre exceptionnel pour tenter l’exercice lors de l’écriture de Cent soixante-dix. Illustration : Anton Skripal – Tous droits réservés
Parution de Cent soixante-dix !
Cent soixante-dix ? Du plus bel effet dans une bibliothèque…
Prêts ?
Prêts à suivre Jean-Baptiste Galéas à travers le Paris haussmannien ? Cent soixante-dix, une romance particulière sous le Second Empire. Illustration : Anton Skripal – Tous droits réservés
Cent soixante-dix – Extrait 3
Relation d’un fils poète et de son père. Cent soixante-dix évoque les souvenirs uruguayens d’un poète en mal d’amour. Illustration : Anton Skripal – Tous droits réservés
La page facebook
Évidemment, vous trouverez aussi des nouvelles toutes fraîches ici : https://www.facebook.com/pg/Daniel.Alexandre.Bez/
Cent soixante-dix – Extrait 2
Durant le siège de Paris en 1870, les rues ne sont pas si sûres. Jean-Baptiste doit pourtant affronter le tumulte qui gronde. Le contexte historique de Cent soixante-dix plonge le lecteur au cœur d’une ville ravagée. Photographie : AleXianS 2016 – Tous droits réservés
Cent soixante-dix – Extrait 1
Rien de mieux qu’un extrait pour oublier le froid et la grisaille (Cent soixante-dix, chapitre troisième) Photographie : AleXianS 2016 – Tous droits réservés