Selflessness – La Ville (2)
Les fêtes sont débridées, les gueules de bois sont sans fin. La Ville est repue des vies qu’elle a pompées. Et ses estafettes répandent la désolation.
Dans « Selflessness » de Daniel-Alexnarde Bez, la ville est un personnage allégorique qui s’oppose à la Justice immanente. La grande putain qui dévoie les volitions inachevés.
« La ville pressure. Comme une grande putain. Dans ses ornements aguichants. Pilleuse par essence, quand bien même elle promet — aux ingénus, aux opportunistes — ses caresses abondantes. »
