Selflessness – Un nouvel extrait ?
Les scènes d’amour ne gagnent rien à être longues. La sagacité du lecteur comble parfaitement ce qui est suggéré, car chacun y glisse alors une part de son imagination. Dans « Selflessness » de Daniel-Alexandre Bez, c’est le contexte qui, en se démarquant d’une narration prévisible, orchestre la véritable originalité du texte.
Selflessness – La Ville
Dans Selflessness, la ville est un personnage central dans certaines séquences narratives. Volontairement, elle n’est pas identifiée et n’est nommée que « La grande putain ». Son rôle est délétère, axiomatiquement opposé à ceux de la narratrice, des personnages ; hermétique à toutes métamorphoses. Elle est celle qui enferre les destins, qui boulonne les servitudes. Dans le […]
Selflessness – Un premier extrait ?
Le souvenir des heures passées à l’écriture des premières lignes de Selflessness, à la correction du style, aux retouches et au rythme me hantent. Comme la promesse merveilleuse d’enchantements futurs.
Mentir vrai ?
Le roman, c’est l’art de mentir vrai. J’ai lu ça quelque part. C’est réducteur. Parce qu’un romancier ne ment pas. Il imagine ; il ressent ; il écrit. Chacun dans son style ; avec ses intentions. Et il vit ce qu’il transcrit et qui, malgré tout, n’est pas lui. Le roman, c’est l’art d’être soi […]
Des illustrations
Les illustrations ne manquent pas sur la page facebook de DAB. L’artiste russe Anton Skripal en a réalisé plusieurs. :
Les premières pages
Les premières pages d’un livre contiennent les ferments sur lesquels l’oeuvre se construit. Cent soixante-dix en est un parfait exemple. Illustration : Anton Skripal – Tous droits réservés
La fin approche
Quand la fin approche, la nostalgie nourrit le romancier. Les dernières ligne de Cent soixante-dix en témoignent. Illustration : Anton Skripal – Tous droits réservés
Littérature et gastronomie (1)
Si vous manquez d’inspiration (et même si vous n’y mangerez pas forcément le veau Orloff de Cent soixante-dix), une bonne adresse lyonnaise qui éveillera vos muses : Le P’tit Boulevard
Tension et narration
La tension est l’énergie du romancier. Elle ne doit pas entraver son récit, mais le ponctuer. Le Paris assiégé de 1870 a fourni un cadre exceptionnel pour tenter l’exercice lors de l’écriture de Cent soixante-dix. Illustration : Anton Skripal – Tous droits réservés
Parution de Cent soixante-dix !
Cent soixante-dix ? Du plus bel effet dans une bibliothèque…